Avec cette troisième session, nous proposons de réfléchir au langage à l’ère du numérique. Les intervenants questionnent la manière dont la création de langages de programmation à des fins plastiques peut redéfinir les limites de l’œuvre d’art. Aussi certains se demandent comment l’écologie numérique, l’écriture du code et la puissance des algorithmes bousculent-elles les relations entre art et langage ? Plus largement, c’est le langage en tant que manière de construire le réel qui est interrogé.